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      le 19/12/2024

      Vers la fin du sinistre rue de Bourgogne

      Suite aux travaux de démolition des immeubles en péril effectués cet été et aux vérifications approfondies des réseaux, la plupart des habitants de la rue de Bourgogne peuvent enfin réintégrer leur logement dès le mercredi 18 décembre. Une étape attendue et marquante qui signe le retour à la normale pour de nombreux riverains.

      Près de trois ans après le début du sinistre, la rue de Bourgogne retrouve sa quiétude pour l’essentiel de ses habitants. Les interdictions d’occuper les logements du côté pair, ainsi que le n°23, ont été levées ce mercredi 18 décembre, offrant aux habitants la possibilité de réintégrer leurs domiciles de manière durable.

      Cette étape décisive fait suite à une vaste campagne de travaux comprenant la remise en état des réseaux (eau potable, électricité, gaz, assainissement et fibre). Au cours des dernières semaines, les riverains ont pu accéder à leurs logements pour en évaluer l’état et effectuer les préparatifs nécessaires à leur retour.

      Restrictions sur la voirie et travaux en cours

      Toutefois, des restrictions restent en place sur la voirie. Des sondages techniques du sol, prévus à partir de janvier, nécessitent de maintenir les conditions actuelles de circulation. Piétons, cyclistes et utilisateurs de trottinettes doivent continuer à circuler pieds à terre sur le trottoir longeant les numéros pairs (24 à 36).

      Au 15 rue de Bourgogne, des travaux de confortement de la façade, anciennement mitoyenne avec le n°17, sont en cours. Une fois cette phase terminée, les réseaux seront vérifiés pour permettre à leur tour le retour des habitants.

      Concernant le 16 rue des 4 Fils Aymon, les fragilités structurelles décelées ont nécessité la prise d’un arrêté de péril. Ces fragilités requièrent des travaux de purge et de rénovation, prévus pour début 2025 sur une durée estimée de deux mois.

      La mairie d’Orléans, pleinement mobilisée pour permettre aux riverains de réintégrer leurs logements avant les fêtes de fin d’année.

      La réaction de Serge Grouard sur ce sujet